Matins câlins,
Sur le bonheur
Glissent les heures.
De halls de gares en au revoir,
Regarde il n’est jamais trop tard,
Sur les rails brûlants de la vie
S’étire l’été à l’infini.
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Viendra frapper les cœurs de pierre, Vent de révolte aux mille embruns, Pour que jamais, sombres et austères, Ne viennent danser matins br...